Ce n’est pas l’envie qui manque !
Franchement le quotidien a de quoi faire péter les plombs ! Alors le tout, c’est d’essayer de rester zen, tranquille mais pas si évident quand on fait face à des petites déconvenues.
Pour trouver l’équilibre, il faut s’occuper de soi avant tout. Et ce qui est bizarre c’est qu’on oscille entre l’individualisme et la fascination de ses semblables. On pense de plus en plus à sa petite personne et on développe en même temps une dépendance aux autres (on regarde tous la vie de ses voisins). Si beaucoup se sentent seuls de nos jours, c’est peut-être pour cette raison ; à trop regarder les autres on s’éloigne de soi. ET la solitude telle que je l’entends n’a rien avoir avec la solitude physique. On peut être à la fois entouré ou en couple et terriblement seul.
L’équation est la suivante : soi et l’extérieur (individus, événements, temps qui passe). Il y a ce que l’on peut contrôler, gérer et ce qui nous échappe.
Apprendre à se maîtriser et connaître ses besoins prend du temps. Sans oublier que le fait de vivre en société impose de composer avec d’autres éléments que soi-même (c’est sûr que si le monde n’était peuplé que de gens à mon image, ce serait un monde extraordinaire 😛 ). Et je pense que tout le monde s’accorde à dire que le problème c’est souvent les autres (Sartre l’assimilait à l’enfer, c’est dire). Pour résumer on se plaint tous et on est tous à plaindre.
ET si pour être zen il suffisait de :
-> Dégager les mauvaises énergies intrinsèques et extrinsèques. Donc n’hésitez pas à mettre de côté les influences destructrices. Vous savez de quoi je parle ?
Il faut apprendre à bien s’entourer. L’énergie positive est essentielle à notre épanouissement personnel et malheureusement elle n’est pas illimitée. Si les mauvaises énergies vous entourent, le positif risque de devenir négatif. C’est pour ça qu’on est en mode flagada au contact des mauvaises ondes.
Ce sont des pompeurs d’énergie positive. Ils guettent, prennent ce dont ils ont besoin et vous dégagent quand vous êtes en mode fatigués de la vie. Je ne dis pas qu’il faut s’isoler mais prenez conscience que vous êtes la priorité de votre vie. Privilégiez les gens qui sauront être là pour vous, faire preuve d’honnêteté sans vous rabaisser.
-> Se recentrer sur soi. Apprendre à se connaître, ce n’est pas chose facile. Et pourtant, c’est la seule façon de pouvoir apprécier les choses à leur juste valeur. Prenez le temps de savoir qui vous êtes, ce que vous attendez de la vie et ce qui compte pour vous. Et puis si cela peut vous rassurer (ou pas) on est TOUS névrosés ! On doit tous gérer des complexes, des périodes fastes et néfastes, des situations difficiles. C’est justement le propre de la condition humaine. Tout le monde souffre. On ne peut pas comprendre les autres si on ne se comprend pas soi auparavant.
-> Intégrer des petits changements à son quotidien pour éviter le pétage de plombs du jour au lendemain. Coupe de cheveux, numéro de tél, le choix est large pour éviter que le quotidien devienne pesant. L’overdose ça a vite fait d’arriver ! Alors n’attendez pas d’en arriver au point de non retour (vous savez c’est quand tout vous sort par les trous de nez). Déterminez le problème et tentez de le régler avant que cela ne se propage (c’est un peu comme une hémorragie).
ET puis la vie, ça va ça vient, ça passe. La dernière chose que je peux dire (encore une fois j’insiste, c’est mon analyse personnelle à partir de mes observations… grosso merdo je peux me tromper) c’est qu’il est important de faire ce qui vous rend profondément heureux et non ce que les gens attendent de vous. La vie n’est pas un concours, ni même une course. Elle n’est qu’un chemin plus ou moins long que l’on emprunte pour se rendre des points A à Z. Chaque chemin est particulier et comporte des obstacles, des belles surprises et différentes directions possibles. C’est une des raisons pour lesquelles il est incorrect de se comparer les uns aux autres. Avançons, profitons des belles choses que nous découvrons au fur et à mesure de nos pas et surtout enrichissons-nous de tout ce que nous avons la chance d’apprendre 🙂